quarta-feira, dezembro 19, 2007

Toujours, Jeanne

Ô belle jeune femme
À toi, la nuit éternelle.
Toi dont il ne reste que portraits et millions.
Aucune obole pour te couvrir les yeux
Pour toi, seulement la berge, la nuit, et les pleurs
de l'enfant que tu as blessé fatalement
Ton peintre, comme toujours,
Vole loin, désordonné.
Belle, belle jeunesse,
Pour toujours !